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État d’esprit de Camille Bireaud

avant que son régiment ne se lance à la poursuite des Allemands, 27 août 1918. Lettre manuscrite à sa femme, 4 p.

Collection privée

« …le cas échéant, je partirai, sans enthousiasme parce que c’est la guerre, toujours trop barbare, la guerre ! source intarissable de sang, de larmes et de deuils…. ».