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Opinion de Joseph Aurel

sur le front et l’arrière adressée à sa femme, 22 août 1916. Carte postale manuscrite.

Collection Martin

« À partir de 20 km en arrière des lignes il faut voir ça…….alors c’est nous qui tenons la tranchée, qui supportons tout..tout…….C’est nous la viande à canon et nous serons les bons à rien au retour, les méprisés ».

Dès le 6 février dans une lettre il écrit : « C’est surtout à Paris qu’il faudrait qu’ils [les boches] aillent toutes les nuits sur la Chambre des députés, les théâtres, les cinémats (sic)… ».