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1. Étau « du poilu »

pour fabriquer des bagues. Bois et aluminium avec trois spécimens de bagues.

Collection Jean Chazottes

 

2. Porte-cigarette

orné de feuilles de houx en laiton.

Collection privée

De nombreux objets fabriqués par les poilus tournent autour du tabac : briquets nécessaires pour allumer la pipe et les grenades, mais aussi cendriers, pots à tabac ou porte-cigarettes.

 

3. Pot à tabac

en laiton.

Collection privée

 

4. Briquet en forme de livre

avec gravés les prénoms de Marcelle et Fernand. Laiton et cuivre.

Collection privée

Réalisé à partir de laiton d’obus mis à plat puis modelé en forme de livre, il porte des incrustations de cuivre rouge

 

5. Cendrier en forme de képi

réalisé à partir d’un étui de balle. Cuivre et étain.

Collection privée

La visière du képi est formée dans le prolongement de la douille pliée et découpée en arrondi. Le galon est modelé en cuivre rouge et provient d’une ceinture d’obus.

 

6. Cendrier

gravé, signé Carlies. Objet rectangulaire avec deux poignées et au dos quatre petits pieds, plomb.

Collection Perrollaz

Sont gravés trois soldats en train de charger un canon de 75 avec la légende : « Un vrai poilu » au-dessus et « Notre 75 en action » en dessous de la scène.  Le pourtour du cendrier est souligné d’une bordure de feuilles de laurier

 

7. Ruche d’abeille

portant la mention du 209e régiment et les initiales F. A. Craie de Champagne.

Collection privée

Ce régiment de réservistes parti d’Agen participa à la 1ère bataille de la Marne et passa les hivers 1914, 1916-1917 en Champagne.

 

8. Bâton sculpté

de branches de chêne et de laurier, d’un brin de muguet et d’un chardon avec, dans un triple ovale les lettres FB. Au-dessus, un oiseau apporte une lettre sur laquelle est écrite la date « août 1917 ». Bois fruitier

Collection privée

 

9. Douille d’obus

décorée d’un écusson portant la date 1914. Cuivre martelé

Collection privée

Après le combat, les poilus ramassent les étuis en cuivre ou en laiton contenant la charge de poudre des armes à feu et surtout les douilles de 75. Préalablement bourrées de papier mouillé autour d’un noyau de bois, elles sont martelées, ciselées. Au départ, ces objets servirent de vases à fleurs sur les tombes des soldats tués.