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Envoi de fleurs séchées

par Maurice Millon d’Ainval à son père, 9 mai 1916. Lettre manuscrite, 5 p.

A.D. de Lot-et-Garonne, 13 J 227

Dans cette lettre qu’il écrit de Verdun, Maurice précise que sa compagnie vient de subir de lourdes pertes avec 15 morts et 30 blessés ou disparus. Sur le dernier feuillet, il colle ces quelques fleurs cueillies, dit-il, dans le jardin de la maison où il a servi la messe ce matin-là.