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Le travail dans les tranchées

raconté par Joseph Aurel à sa femme, 31 janvier 1916. Carte postale.

Collection privée

« Nous avons travaillé cette nuit mais pas à placer du fil de fer comme les nuits précédentes….Ça canarde toujours… ».

En avant des lignes chaque camp disposait des réseaux de fils barbelés sur lesquels se fracassaient les assaillants lors d’une sortie de la tranchée. Les cadavres accrochés à ces fils sont l’une des pires visions que les soldats aient eu à endurer.