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L’horreur des tranchées

relatée par Joseph Aurel à sa femme,5 décembre 1915. Carte postale.

Collection Martin

« Il pleut toujours, comme si nous en avions besoin ; aussi c’est impossible de se faire une idée de ce que sont les tranchées, il faut le voir pour y croire, c’est impossible : les condamnés à mort ne sont pas plus malheureux que ceux qui sont obligés de rester ou de circuler dans ces maudites tranchées…. ».
Mal étayées parfois, sans confort, les tranchées de première ligne se transforment en bourbiers gluants par temps de pluie.